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Antoine Girard de Saint-Amant



Sonnet ii - Sonnet


Sonnet / Poémes d'Antoine Girard de Saint-Amant





Me voyant plus frisé qu'un gros comte allemand,
Le teint frais, les yeux doux, et la bouche vermeille,
Tu m'appelles ton cour, ton âme, ta merveille,
Et me veux recevoir pour ton plus cher amant.



Tu trouves mon maintien si grave et si charmant,
Tu sens à mes discours un tel goût en l'oreille,
Que tu me veux aimer d'une ardeur non pareille,
Où désormais ta foi sera de diamant.



Pour me donner un nom qui me soit convenable,
Cloris, ton jugement est plus que

raisonnable
Quand tu viens m'appeler un miroir à putains.



Je n'en refuse point le titre ni l'usage :

Il est vrai, je le suis, tes propos sont certains,

Car tu t'es bien souvent mirée en mon visage.

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Antoine Girard de Saint-Amant
(1594 - 1661)
 
  Antoine Girard de Saint-Amant - Portrait  
 
Portrait de Antoine Girard de Saint-Amant

Biographie

-1594 → Naissance: Grand-Quevilly le 30 septembre

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