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LE QUARTIER LATIN - L'ÎLE DE LA CITÉ






Fluctuât nec mergitur

«Roulant de l'un à l'autre bord, le vaisseau de la culture française s'avance et poursuit sa route hardie, fluctuât nec mergitur - il vogue et ne sera pas submergé. Il risquerait de l'être, il le serait, du jour où l'un des deux interlocuteurs du dialogue l'emporterait définitivement sur l'autre et le réduirait au silence, du jour où le navire verserait ou s'inclinerait tout d'un côté.»

André GIDE



L'ÎLE DE LA CITÉ

On rattache à la rive gauche de la Seine l'île de la Cité, noyau historique de Paris, où subsistent les deux monuments qui représentaient le pouvoir royal et l'autorité religieuse de la Cité: l'ancien Palais Royal de Philippe Auguste, devenu le Palais de Justice, et la Cathédrale Notre-Dame.

L'Ile Saint-Louis dont le décor est resté celui du dix-septième siècle, est une des curiosités charmantes de la capitale. On peut y voir de nombreuses maisons et hôtels du dix-septième siècle.

Les Quais de la Seine sont la promenade la plus délicieuse, les boîtes pittoresques des bouquinistes garnissent les parapets. Sur 1.800 mètres, quatorze ponts franchissent la Seine, dont le magnifique Pont Neuf, le pittoresque Pont de la Tournelle.

Au Palais de Justice on peut voir surtout la Sainte-Chapelle, fin joyau gothique subsistant du Palais construit au treizième siècle par Saint-Louis (vitrauX) et la Conciergerie, ancienne prison où trois superbes salles gothiques élevées au quatorzième siècle, par Philippe le Bel, subsistent.

La Cathédrale de Notre-Dame, considérée comme un sommet de l'art gothique français, le plus bel édifice de la capitale de France, domine de sa masse grandiose la place du Parvis. Commencée en 1163 par l'Évêque Maurice de Sully, le plus gros ouvre fut terminé en 1250. mais on y travailla jusqu'en 1330, sans en altérer l'unité. La cathédrale a été restaurée par Violet le Duc. Les tours s'élèvent à 69 mètres; on peut y accéder à la plate-forme de la tour sud d'où la vue est splendide. Une visite détaillée de l'extérieur et de l'intérieur demande deux heures environ. On peut y voir surtout: la Galerie des Rois, la Grande Rose, la Grande Galerie, les Portails, la Nef, les Verrières du Transept, le Choeur, le Trésor, le Portail du Cloître, la Porte Rouge, le Chevet, la Flèche et le Portail Saint-Éticnne.

Le Pont Neuf, le plus ancien et le plus célèbre de Paris (1578 à 1604) fut autrefois le centre populaire de la capitale où se réunissaient bateleurs, camelots et chansonniers (le plus célèbre des ses farceurs, Tabarin, est passé à la prospérité). On peut y admirer la statue équestre de Henri IV.



L'île de la Cité est considérée comme le berceau, le cour de Paris. C'en est aussi le symbole. Mais le Quartier Latin en est le cerveau.

La RUE SOUFFLOT mène au Panthéon, majestueux édifice, surmonté d'un Dôme, ancienne église Sainte-Geneviève transformée en 1791, en grandiose nécropole, pour recevoir les cçndres de Mirabeau. Par la suite d'autres hommes célèbres y furent enterrés. Sur le fronton, on trouve la fameuse devise: «Aux Grands Hommes, la Patrie reconnaissante».

À l'intérieur, les murs sont décorés de fresques (les plus célèbres sont celles de Puvis de Chavanncs retraçant l'histoire de Sainte-GenevièvE). À gauche de la Place du Panthéon se trouvent la Faculté de Droit et la Bibliothèque Sainte-Geneviève.

Le Quartier Latin occupe le BOULEVARD SAINT-MICHEL, qui part de la place Saint-Michel et traverse le boulevard Saint-Germain; c'est la grande voie universitaire de Paris, animée par la jeunesse des Grandes Écoles groupées aux alentours. Le Quartier Latin est par excellence le quartier de la Sorbonne, où l'ancienne Université donnait son enseignement en latin.



LE LATIN



Jusqu'au XVI-e siècle, la langue noble, que pratiquaient tous les gens instruits, était le latin. C'est à la Renaissance que la langue française s'impose comme une langue à part entière. Par l'édit de Villers-Cotterêts, en 1539, le roi François I-er impose l'usage de la langue française dans les actes officiels.

Les pentes de la montagne Sainte-Geneviève furent, dès le XIII-e siècle le fief de l'Université. Aujourd'hui encore, autour de l'antique Sorbonne, le Quartier Latin est le centre de la vie universitaire. Le boulevard Saint-Michel (Bouf "Mich") est le promenoir de milliers d'étudiants du monde entier. Le nom du quartier dérive justement de la langue de l'enseignement (le latiN) utilisée pendant des siècles.



ÉCOLES ET UNIVERSITES



Pierre Abélard (1079-1142), petit seigneur breton passionné par l'étude, ouvre une école à 22 ans. Il est considéré comme le premier professeur.

Au XH-e siècle, les écoles urbaines, concurrencent les écoles des monastères. Simples regroupements d'étudiants autour d'un maître, elles diffusent des idées neuves. Si l'étude des textes sacrés demeure la science principale, on ne se satisfait plus de les lire et de les copier; on éprouve le besoin de les étudier avec une méthode de raisonnement logique: la scolastique. Dans le même temps se développe une grande curiosité pour la médecine et le droit.

Un nouvel état d'esprit

«J'ai appris de mes maîtres arabes à prendre la raison pour guide. Toi, tu te contentes de suivre en captif la chaîne d'une autorité. Quel autre nom donner à l'autorité que celui de chaîne ? Comme les animaux stupides sont menés par une chaîne et ne savent ni où ni pourquoi on les conduit, ainsi la majorité d'entre vous se laissent conduire enchaînés à des croyances dangereuses par l'autorité de ce qui est écrit.»

Adélard de Bath, XII-e siècle.



Au XlII-e siècle, professeurs et étudiants devenus nombreux s'organisent en universités qui bénéficient de privilèges de la part des rois et des papes. Dépendant alors du clergé, subdivisées en facultés (arts, droit, médecine, théologiE), elles réunissaient professeurs et élèves en une véritable communauté. Les professeurs élisent leur chef appelé doyen, ou recteur pour les arts. Les étudiants de la faculté des Arts, les plus jeunes et les plus nombreux, se rassemblent par nation selon leur origine. Sous l'Ancien Régime, les universités étaient créées par une charte royale. Une charte de Philippe Auguste (1180-1223) fonda en 1200 l'université de Paris (nommée par la suite la SorbonnE), qui connut son apogée du XlII-e au XV-e siècles; à partir du XVI-e siècle, son opposition à la Renaissance humaniste entraîna son déclin.



La concurrence des universités

Lettre adressée par les fondateurs de l'Université de Toulouse à toutes les écoles pour attirer professeurs et étudiants:

«Les livres scientifiques qui ont été interdits à Paris sont commentés ici pour ceux qui veulent approfondir jusqu'à la moelle les secrets de la nature. Que pourrait-il vous manquer? La liberté de l'enseignement? Nullement. Craindriez-vous les persécutions d'une population farouche ou la tyrannie d'un prince injuste? Ne craignez rien. Le comte de Toulouse vous a assuré aussi bien un salaire que la sécurité pour vos serviteurs. Pour l'approvisionnement en vivres, vous pouvez acquérir la certitude qu'il n'y a plus de risque de famine. N'oubliez pas non plus la courtoisie de la population. »

Cartulaire de l'Université, 1229



L'Université de Paris accueille les plus grands docteurs, comme le Dominicain Thomas d'Aquin qui rédige le premier grand traité de théologie, la Somme théologique.

L'enseignement était donné oralement et en latin. Cependant à la fin du XIII-e siècle, avec l'apparition du papier chiffon, moins cher que le parchemin, on utilise de plus en plus le livre.

En 1253 Robert de Sorbon fondait un collège (sorte de pensionnaT) de théologie pour les maîtres et étudiants peu fortunés (= pauvreS). Ce collège allait devenir le plus célèbre du Moyen Age: telle est l'origine de la Sorbonne. Autour du collège de la Sorbonne, une foule d'autres établissements couvrirent bientôt les pentes de la colline Sainte-Geneviève, attirant à Paris l'élite des étudiants de l'Europe. L'enseignement y était dispensé selon les quatre disciplines principales que nous avons déjà mentionnées: théologie, droit, médecine et arts (ou belles-lettreS). Au XVII-e siècle, le cardinal de Richelieu le rebâtit avec une église. Reconstruite sous la Ill-e République, la Sorbonne abrite encore de nos jours le Rectorat de l'Université et une partie de la Faculté des Lettres.



Les lumières de la connaissance

Les méthodes pédagogiques:

«Toute instruction était d'abord une lecture. Le maître s'interrompait fréquemment pour dégager du texte trois séries d'explications: il s'adonnait à un commentaire grammatical, puis exposait le sens de ce commentaire, enfin recherchait la pensée profonde qui pouvait se dissimuler sous le premier sens.

Il vérifiait ensuite l'assimilation que ses élèves avaient réalisée au prix d'un effort de mémoire considérable.»

D'après Ph. Wolff, L'éveil intellectuel de l'Europe, Le Seuil.



La licence ou le droit d'enseigner

«Le matin de l'épreuve, après la messe du Saint-Esprit, le candidat comparaissait devant les docteurs dont l'un lui donnait deux passages à commenter. Il se retirait chez lui pour préparer ce commentaire qu'il faisait le soir dans un lieu public (la cathédrale le plus souvenT), devant un jury de docteurs.

Après le commentaire, il répondait aux questions des docteurs qui se retiraient ensuite et votaient. Reçu à l'examen, le candidat licencié faisait un discours et lisait une thèse sur un point de droit qu'il défendait ensuite contre les étudiants qui l'attaquaient. On lui délivrait alors solennellement la licence d'enseignement et on lui remettait les insignes de sa fonction: une chaise, un livre ouvert, un anneau d'or, la tocque.»

D'après J. Le Goff, Les intellectuels au Moyen Âge, Le Seuil.



Les conditions matérielles

«Comme les livres étaient onéreux, les étudiants qui n'avaient pas les moyens de s'en offrir allaient les recopier page par page chez le libraire de l'université auprès duquel était déposé l'exemplaire faisant foi. Peu à peu le livre perd son caractère sacré pour devenir un instrument de travail. L'écriture courante devient cursive (= écriture rapidE): les abréviations se multiplient. Les manuscrits universitaires ne comportent plus guère de lettrines finement décorées.»

D'après R. Fossier, Le Moyen Âge, Tome 2, A. Colin.



Règlement du collège de la Sorbonne (milieu du XIII-e sièclE)

« Personne ne mangera de la viande pendant l'Avent non plus que le lundi et le mardi de Carême..., ainsi que du jour de l'Ascension jusqu'à la Pentecôte. Personne ne mangera dans sa chambre sans un motif valable.

Ceux qui auront été saignés pourront s'ils le veulent manger dans leur chambre pendant trois jours, ceci pour la raison que c'est le troisième jour qu'on souffre le plus blessure.

Les pensionnaires qui mangent dans leur chambre rassembleront les reliefs de leur repas pour les remettre au dépensier qui les distribuera aux clercs pauvres.

Si un pensionnaire arrive en retard, il ne recevra que du pain.

Les pensionnaires devront porter des manteaux fermés, sans fourrure et sans parements de soie.

Le pensionnaire qui aura bousculé, repoussé ou frappé un domestique paiera aux autres pensionnaires un setier (environ 0,4 litrE) de vin. Que personne ne prenne l'habitude de parler à haute voix à table. Celui qui, après avoir reçu un avertissement, continuera à parler trop haut, sera frappé de l'amende ordinaire, c'est-à-dire de deux quarts de vin. »

D'après Lizerand, Lectures historiques, Delalain, 1939.



LE COLLEGE DE FRANCE

Indépendant de l'Université, voué à la recherche désintéressée, le Collège de France a été fondé en 1530 par le roi François I-er (il portait alors de nom de Collège des Lecteurs royauX). Les textes hébreux, grecs et latins, sacrés ou profanes, y étaient étudiés avec une entière liberté critique. L'édifice actuel a été bâti sous Henri IV. De nos jours, des professeurs illustres y dispensent un enseignement public, gratuit, mais très spécialisé. Au XlX-e siècle, Michelet y a enseigné l'histoire, au commencement du XX-e, Bergson y enseignait, lui aussi, la philosophie grecque et moderne. Aujourd'hui, le Collège de France est pourvu de 50 chaires environ. Il se trouve, tout comme l'Université de Paris (la SorbonnE), à la RUE DES ÉCOLES.



LE PALAIS DE L'INSTITUT

Le Palais de l'Institut abrite cinq académies qui constituent l'Institut: l'Académie française, la doyenne, créée par Richelieu (1635), les inscriptions et les Belles Lettres (1664), les Sciences (1666), les Beaux Arts (1816), les Sciences Morales et Politiques (1832).

Il a été construit sur un leg de Mazarin. Commencé en 1663, sur les plan de Le Vau, il fut terminé en 1688. Il devait recevoir soixante écoliers de quatre pays différents et s'appelait alors le «Collège des Quatre nations». En 1805, Napoléon y installe l'Institut. Il frappe surtout par sa fameuse Coupole, symbole de l'Académie française. Au centre se trouve la Chapelle de style jésuite. On y trouve également la Bibliothèque Mazarinc (collection de MazariN) et de nombreux travaux et sculptures (Voltaire, par HoudoN).



LES PARCS ET LES JARDINS

Près du boulevard Saint-Michel (à l'angle du boulevard Saint-Michel et de la rue de Médicis, plus exactemenT) se trouve le célèbre, le magnifique jardin du Luxembourg, l'un des asiles préférés des étudiants qui, entre deux cours, y viennent pour se reposer. Ce jardin public est un des plus beaux de Paris. Chanté par les poètes et les romanciers, ce très harmonieux jardin avait été agrandi, en 1790, par la suppression de l'ancien couvent des Chartreux. On peut y voir la Fontaine des Médicis.

Le Palais du Luxembourg abrite le Sénat. Ce Palais fut édifié de 1615 à 1620, sur les ordres de Marie de Médicis, par l'architecte Salomon de Brosse. Pour décorer les galeries intérieures, Rubens a composé vingt-quatre tableaux retraçant l'histoire de Marie de Médicis, actuellement au Louvre. Le Palais resta propriété royale jusqu'à la Révolution, où il servit de prison. Il abrita le Directoire, le Consulat en enfin le Sénat.



LE QUARTIER LATIN

TEXTE DU MANUEL OFFICIEL

Si l'île de la Cité est considérée le cour de Paris, le Quartier Latin en est le cerveau... Dès le Moyen Age, la Montagne Sainte-Geneviève demeure le quartier des écoles, que cette colline abrite depuis des siècles. La langue officielle de l'enseignement était le latin: maîtres et écoliers en usaient même dans la vie courante... C'est ce qui explique l'appellation du quartier.

Ses débuts remontent loin dans le passé... En 1253, Robert de Sorbon fonda un collège où seize étudiants pauvres devaient recevoir asile. Telle est l'origine de la Sorbonne, siège de l'Université de Paris.

En 1530, sur l'instance du grand humaniste Guillaume Budé, François I-er crée le "Collège de France" où l'on introduit des disciplines nouvelles telles les mathématiques, la médecine, la botanique, la philosophie, le grec, l'arabe... N'oublions pas - c'était le siècle de la Renaissance...

Le nombre des étudiants s'accroît de ceux provenant des Grandes Ecoles, situées elles aussi au Quartier Latin: l'Ecole de Médecine, l'École Normale Supérieure et autres.

Il ne faut pas oublier les lycées Montaigne, Henri IV, Louis le Grand, Saint Louis...

De cette façon, ce n'est pas difficile à comprendre pourquoi on y rencontre la population la plus jeune de Paris... La vie de l'arrondissement est mêlée à celle des étudiants, dont les groupes ondulent en monômes dans des ruelles insolites par où coule la sève studieuse du Paris de vingt ans... La jeunesse inonde Boul' "Mich", cette artère estudiantine parsemée de cafés à terrasses, de bistrots et surtout de belles librairies.

Tout près de la Sorbonne, la Bibliothèque Sainte-Geneviève, avec son million de livres, fait partie du paysage. Sur les plaques en marbre de sa façade principale la reconnaissance humaine a fait inscrire des noms de grands savants, parmi lesquels un qui nous est cher, celui de Dimitrie Cantemir.



ABRÉGÉ DU TEXTE DU MANUEL OFFICIEL

L'Ile de la Cité est le cour de Paris, le Quartier Latin en est le cerveau. Dès le Moyen Age, la Montagne Sainte-Geneviève demeure le quartier des écoles. La langue officielle de l'enseignement était le latin: maîtres et écoliers en usaient même dans la vie courante. C'est ce qui explique l'appellation de ce quartier.

Ses débuts remontent loin dans le passé. En 1253, Robert de Sorbon fonda [fonde] un collège où seize étudiants pauvres devaient recevoir asile. Telle est l'origine de la Sorbonne, siège de l'Université de Paris.

En 1530, François I-er crée le "Collège de France" où l'on introduit des disciplines nouvelles: c'était le siècle de la Renaissance.

Le nombre des étudiants s'accroît de ceux provenant des Grandes Écoles: l'École de Médecine, l'École Normale Supérieure, etc.

II ne faut pas oublier les lycées Montaigne, Henri IV, Louis le Grand, Saint Louis.

De cette façon, il / ce n'est pas difficile à comprendre pourquoi on y rencontre la population la plus jeune de Paris. La vie de l'arrondissement est mêlée à celle des étudiants, la jeunesse inonde Boul' "Mien", artère estudiantine parsemée de cafés à terrasses, de bistrots et surtout de belles librairies.

Tout près de la Sorbonne, la Bibliothèque Sainte-Geneviève, fait partie du paysage. Sur les plaques en marbre de sa façade principale la reconnaissance humaine a fait inscrire des noms de grands savants, parmi lesquels un qui est cher à tous les Roumains, celui de Dimitrie Cantemir.





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