François de Vigny |
Merci, mon cher poète, à ton fifre charmant; Harmonieux et tendre, il captivait mon âme, Les flots n'ont pas noyé tes sons, et l'Océan Ne les a pas couverts d'une oublieuse lame. Comme un parfum de fleurs, comme un aimable encens, Ils sont montés, pieux, vers la céleste voûte. D'illustres morts suivaient tes rêves et tes chants. Béranger te sourit, Chateaubriand t'écoute. Et moi je viens, l'un des derniers Près de ces noms prendre ma place. Je te couronne de lauriers Que pour toi m'a remis Horace. |
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François de Vigny (1570 - ?) |
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Portrait de François de Vigny | |||||||||
Biografie / cronologieConformément aux préoccupations constamment manifestées par l'écrivain, nous avons étendu cette chronologie dans la direction du passé, à la recherche de la noblesse des ancêtres, et dans celle de l'avenir, à l'écoute des échos de l'ouvre renvoyés par la postérité. Bibliographie |
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