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Gérard de Nerval |
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Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau : A la main une fleur qui brille, A la bouche un refrain nouveau. C'est peut-être la seule au monde Dont le cour au mien répondrait, Qui venant dans ma nuit profonde D'un seul regard l'éclaircirait! Mais non, - ma jeunesse est finie... Adieu, doux rayon qui m'as lui, - Parfum, jeune fille, harmonie... Le bonheur passait, - il a fui! |
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Gérard de Nerval (1808 - 1855) |
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Portrait de Gérard de Nerval | |||||||||
Biographie / chronologie1808. OuvreSi l'on excepte divers ouvrages dramaturgiques (Lara, 1833!; Léo Burckhart, 1839), l'ouvre de Nerval est essentiellement romanesque et poétique. |
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