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Jean de Boyssieres



Les fontaines s'en vont, courantes par ruisseau - Sonnet


Sonnet / Poémes d'Jean de Boyssieres





Les fontaines s'en vont, courantes par ruisseau (Venans de tous costez) rendre dans les rivières :
Les rivières après se rendent (marinières)
Dans la mer qui reçoit, de toutes parts les eaux :



Je croy que tout ainsi, les tourmens à monceaux
S'assemblent, & joignans les angoisses meurtrières,
Viennent tous, s'amasser, dans le triste
BOYSSIERES,
Y faisant une mer, de tous genres de maux.



Tout ainsi que la terre aux eaux, je sers de rive,
A ma mer de douleur :
POTIERE sonde un peu,
Comment il est possible (helas) qu'ainsi je vive :



Mais je le te diray :
C'est que l'ardeur du feu,
Des rays de mon soleil, qui (traversant la nue)
Quant enflée est ma mer, (basse) la diminue.

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Jean de Boyssieres
(1555 - 1584)
Portrait de Jean de Boyssieres
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