Jean du Clicquet de Flammermont |
Le semeur est allé sa semence répandre Dans l'estomac petry de ses moites guerés, Une partie est cheute en des lieux empierrés, Autre dessus la voye, épine, et terre tendre. Les oiseaux sont venus sur le chemin descendre, Et d'un bec fameilleus les grains ont dévorés, Ceux qu'on receu la roche, et poignantes forés, Vefz d'eau et d'air n'ont peu n'y monter, n'y s'étendre. Qui nourrit une oreille accostable des coups Que ce foudre débande enpanné de couroux, L'aproche, et aux eclas en butte son cour dresse. Quel oil ne se dévoute au bord de cest éclair ? Qui n'est pierre, ou chemin, ou épine, et ne laisse La voix de Dieu s'étaindre, ou flétrir, ou racler ? |
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Jean du Clicquet de Flammermont (? - ?) |
Portrait de Jean du Clicquet de Flammermont |