Jean du Clicquet de Flammermont |
Vêtant notre Fangeac nous crions le miroir, Nous crions le miroir sortans parmy la rue, Devant des aveuglés, et sans glace pendue Les Dames de ce tans ne veulent apparoir. Si un jour sollennel convient de faire voir La face de notre ame a la divine veue, Si blanche elle Solleille, ou annuité pollue Nous n en venons De Rantre aucun soing concevoir. Ha ! quel conte on rendra de si lasche impudence ! Au jour, jour de fureur, quand l'horrible sentence De ce jour rugissant au cour nous tonnera, Devant l'oil éclairant du Soleil de justice, Et que son foudre aigu ses trais débandera Par le sein de nostre ame après l'énorme vice. |
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Jean du Clicquet de Flammermont (? - ?) |
Portrait de Jean du Clicquet de Flammermont |