Léo Ferré |
Quand y'a la mer et puis les ch'vaux Qui font des tours comme au ciné Mais qu' dans tes bras c'est bien plus beau Quand y'a la mer et puis les ch'vaux Quand la raison n'a plus raison Et qu' nos yeux jouent à s' renverser Et qu'on n' sait plus qui est F patron Quand la raison n'a plus raison Quand on rat'rait la fin du monde Et qu'on vendrait l'éternité Pour cette éternelle seconde Quand on rat'rait la fin du monde Quand le diable nous voit pâlir Quand y'a plus moyen d' dessiner La fleur d'amour qui va s'ouvrir Quand le diable nous voit pâlir Quand la machine a démarré Quand on n' sait plus bien où l'on est Et qu'on attend c' qui va s' passer |
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Léo Ferré (1916 - 1993) |
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Portrait de Léo Ferré | |||||||||
biographiePoète... vos papiers !, poèmes (La Table ronde, 1956) La Nuit, feuilleton lyrique (La Table ronde, 1956) Mon programme, plaquette auto-éditée (1968) Benoît Misère, récit (Robert Laffont, 1970) Il est six heures ici et midi à New York, plaquette auto-éditée (Gufo del Tramonto, 1974) Je parle à n'importe qui, plaquette auto-éditée (Gufo del Tramonto, 1979) |
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