Paul Neuhuys |
Agnès a la peau si blanche, si roses ses lèvres d'oillet, que pour lui baiser les hanches un ange s'est agenouillé. Près de mon Isabeau ah! que la terre est belle. Près de mon Isabelle ah! que le monde est beau. Octobre chaud, harpes éteintes: quelle oasis d'oisiveté... Étoile filante, je fais un vou: voir le sein nu de Dorothée. |
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Paul Neuhuys (1897 - 1984) |
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Portrait de Paul Neuhuys | |||||||||