Paul-Jean Toulet |
O mer, toi que je sens frémir A travers la nuit creuse, Comme le sein d'une amoureuse Qui ne peut pas dormir; Le vent lourd frappe la falaise... Quoi! si le chant moqueur D'une sirène est dans mon cour - O cour, divin malaise. Quoi, plus de larmes, ni d'avoir Personne qui vous plaigne... Tout bas, comme d'un flanc qui saigne, Il s'est mis à pleuvoir. |
Contact - Membres - Conditions d'utilisation
© WikiPoemes - Droits de reproduction et de diffusion réservés.
Paul-Jean Toulet (1867 - 1920) |
|||||||||
|
|||||||||
Portrait de Paul-Jean Toulet | |||||||||