Auguste Angellier |
Naissance: 1848 Dunkerque Décès: 28 février 1911, à Boulogne-sur-Mer Consacré à l'histoire d'un amour, le recueil du poète picard Auguste Angellier, « A l'amie perdue », contient, entre autres, un sonnet qui chante « les caresses des yeux ». Comme celui du silence, et bien avant celui de la parole, le plus menteur, le langage du regard n'est-il pas le langage privilégié de l'amour ? Né le 1er juillet 1848 à Dunkerque, il vit le décès précoce de son père (maître-plafonnier) et suit sa mère qui regagne Boulogne-sur-mer, ville d'où elle est originaire. Elle travaille comme secrétaire dans l'entreprise de construction de ses frères. Auguste est surtout influencé par son oncle, M. Lacour. Externe au collège de Boulogne-sur-mer jusqu'au baccalauréat, il est apprécié pour ses qualités intellectuelles et entre comme pensionnaire au lycée Louis le grand de Paris en octobre 1866 pour préparer le concours de l'E.N.S. Mais entre l'écrit et l'oral du concours, lors de sa 3e année, un incident éclate entre le censeur et les internes. [ Lire la biographie de Auguste Angellier] |
Tous les poèmes de Auguste Angellier (poésie) |
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Poémes
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Articles littéraires au sujet de Auguste Angellier |
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Poètes contemporains Auguste Angellier (1848 - 1911) |
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Auguste Angellier (1848 - 1911) |
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Portrait de Auguste Angellier | |||||||||