Jacques Izoard |
OUVRES DE JACQUES IZOARD Ce manteau de pauvreté - Poèmes et autres récits. Liège, Editions de l'Essai, 1962. Coll. «Essai-Poésie». Préface de Paul Gilson. Les sources de feu brûlent le feu contraire. Bruxelles, Société des Écrivains, 1964. Dessin d'Ossip Zadkine. Aveuglément Orphée. Paris, Guy Chambelland, 1967. Dessin de Leonor Fini. Des lierres, des neiges, des chats. Bruxelles, Henry Fagne, 1968. Dessin de Robert Variez. Un chemin de sel pur (suivi de) Aveuglément Orphée. Paris, Guy Chambelland, 1969. Lithographie de Leonor Fini. Le Papier, l'Aveugle. Liège, Éditions de l'Essai, 1970. Voix, vêtements, saccages. Paris, Bernard Grasset, 1971. Des laitiers, des scélérats. Paris, Saint-Germain-des-Prés, 1971. Coll. «G.C.» (Guy Chambelland). Six poèmes. Liège, Tête de Houille, 1972. Gravure de Robert Variez. La Maison des cent dormeurs. Paris, Gaston Puel, 1973. Gravures et maquette de Starisky. La Patrie empaillée. Paris, Bernard Grasset, 1973. Bègue, bogue, borgne. Waremme, Éditions de la revue Donner à voir, 1974. Couvert, avec dessin de Robert Variez. Le Poing près du cour. Dans Verticales 12, n° 21-22, Decazeville, 1974. Poèmes. Saint-Gengoux-le-National, Louis Dubost, 1974. Coll. «Fond de tiroir». La Maison dans le doigt. Dans Cahiers de Roture, n° 4, Liège, 1974. Poulpes, papiers. Paris, Commune Mesure, 1975. Gravure de Jean Coulon. Rue obscure (avec Eugène Savitzkaya). Liège, Atelier de l'Agneau, 1975. Le Corps caressé. Paris, Commune Mesure, 1976. Gravure de Jean Coulon. La Chambre d'Iris. Awan-Aywaille, Fonds de la Ville, 1976. Andrée Chêdid (essai). Paris, Seghers, 1977. Coll. «Poètes d'aujourd'hui». Vêtu, dévêtu, libre. Paris, Pierre Belfond, 1978. Plaisirs solitaires (avec Eugène Savitzkaya). Liège, Atelier de l'Agneau, 1979. Avec la rouille et les crocs du renard. Dans Douze poètes sans impatience. Paris, Luneau-Ascot, 1979. Enclos de nuit. Senningerberg (Grand-Duché de Luxembourg), Origine, 1980. Langue. Nantes, Cahiers du Pré Nian, 1980. Sérigraphies de Herman, Bracaval, Boulay. Petites merveilles, poings levés. Herstal, Atelier de l'Agneau. 1980. Photos. Frappé de cécité dans sa cité ardente. Liège, Atelier de la Soif étanche, 1980. Fllustr. de Lucien Massaert. Le Corps et l'image. Liège, «Aux dépens de l'artiste», 1980. Eaux-fortes de Jean-Luc Herman. Axe de VU. Herstal, Atelier de l'Agneau, 1982. Dessins de Martin Vaughn-James. Pavois du bleu. Saint-Laurent-du-Pont (Isère), Le Verbe et l'Empreinte, 1983. Huit dessins à l'encre de Chine, de Marc Pessin. Voyage sous la peau. Nantes, Pré Nian, 1983. Gravures de Bracaval. M'avait-il dit. Dans La Lettre internationale, n° 16, printemps 1988. Sommeil d'encre. Ougrée, M25 productions, (1988). Illustr. de couv. de Robert Variez. Corps, maisons, tumultes. Paris, Belfond, 1990. Ourthe sourde. S.L., MYRDDIN, 1991. Poèmes (avec Andrée Chédid). Épinal, Ville d'Épinal, 1991. Sulphur, Banff (Canada), Odradek, 1994. . Vendettas et tempêtes, La raison des nuages MYRDDIN, 1994 . Traquenards, corps perdus, Châteaulineau, Le Taillis Pré, 1996. . Entre l'air et l'air, Charleville, Mont Analogue, coll. « État des Lieux », 1997. . Le Corps dans le corps, L'air de l'eau, 1997 . Le Bleu et la poussière, Paris, Éditions de la Différence, 1998. Coll. « Clepsydre » (Prix Alain Bosquet, 1999 ; Prix triennal de Poésie, 2001). . Inouïe nuit, avec Roger Dewint, La Pierre d'alun, 2000 . Pièges d'air, LeFram, 2000 . Dormir sept ans, La Différence, 2001. . Andrée Chédid par Jacques Izoard, Seghers, 2004 . Tout mot tu, tout est dit suivi de Traquenards, corps perdus, Taillis Pré, 2004 Note bibliographique Certains poèmes repris dans le recueil La Patrie empaillée avaient précédemment été publiés dans Liberté, Sud, Poésie I, Origine, Le Monde, Gradiva, Atelier de l'Agneau, Cahiers de Roture, Écritures, Nouvelles à la main. Verticales 12... À CONSULTER Poésie sans papier. Numéro spécial Jacques IZOARD de Nouvelles à la main - Espaces, n° 184, 1971-1972 (articles d'André DOMS, de Serge MEURANT). Pierre MONIQUET, Jacques IZOARD, La Patrie empaillée. Dans La Vie wallonne, n° 344, 41 trim. 1973, p. 239-244. Verticales 12 - Jacques IZOARD, n° 21-22, 1974. Présentation d'Alain BOSQUET. Jacques IZOARD. Dans Cent auteurs. Éditions de la Francité, 1982, p. 213-216 (art. de Georges LlNZE, entretien avec Anne-Marie TREKKER, éléments de biographie et de bibliographie). Robert SABATIER, Jacques IZOARD. Dans Poésie du XX' siècle, Paris, Albin Michel, 1988, p. 547-549. Eugène VAN ITTERBEEK, Terre, territoire, paysage, pays... Dans Pi, n° 3-4, décembre 1988 (Leuven), p. 149-151. Daniel LAROCHE, Resserrement et dispersion. La poésie de Jacques IZOARD. Dans Le Courrier du Centre International d'Études Poétiques, n°188, novembre-décembre 1990, p. 29-45. Jacques IZOARD. Tiré à part de la revue Sources n° 5, septembre 1989, et n°6, mai 1990. Namur, Maison de la Poésie, 28 p. |
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Jacques Izoard (1936 - 2008) |
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Portrait de Jacques Izoard | |||||||||
BiographieLe 29 mai 1936 naissance de Jacques Delmotte à Liège, dans le quartier populaire de Sainte-Marguerite. Son père est instituteur, sa mère professeur de dessin. Il aura une sour (Francine, née en 1940) et un frère (Jean-Pierre, né en 1945). Ancêtres rhénans, dont on se transmet en famille de lointaines citations. RepÈres bibliographiquesOUVRES DE JACQUES IZOARD |
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