Jean Tardieu |
Je sais que j'attends que l'heure s'ajoute à l'heure et m'enlève je ne résisterai pas. Sur les prés et sur les dunes les poulains les goélands auront leur part de vitesse de lumière de repos. Enfin je ressemblerai à ce qui m'anima, dès l'origine de ma vie : moitié soleil moitié ombre, victorieux et défait. |
Contact - Membres - Conditions d'utilisation
© WikiPoemes - Droits de reproduction et de diffusion réservés.
Jean Tardieu (1903 - 1995) |
|||||||||
|
|||||||||
Portrait de Jean Tardieu | |||||||||
Biographie / OuvresNé en 1903 à Samt-Gerrnain-de-Joux (Jura), d'un père peintre (Victor Tardieu. 1870-1937) et dune mère musicienne. Étude.a Paris : Ivcée Condorcet. puis Sorbonne. Suit, dès 1923. les > Entretiens d'été » de Pontigny, où ses premiers écrits poétiques sont remarqués par Paul Desjardins, André Gide, Roger Martin du Gard. Premiers poèmes publiés par Jean Paulhan. en 1927. dans La Nouvelle Revue |
|||||||||