Paul Verlaine |
Car mon cour, jamais fatigué D'être ou du moins de le paraître, Quoi qu'il en soit, s'efforce d'être Ou de paraître fol et gai. Mais, mieux que de chercher fortune Il tend, ce cour, dur comme l'arc De l'Amour en plâtre du parc, A se détendre en l'autre et l'une Et les autres : des cibles qu'on Perçoit aux ventres des nuages Noirs et rosâtres et volages Comme tels désirs en flocon. |
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Paul Verlaine (1844 - 1896) |
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Portrait de Paul Verlaine | |||||||||
OuvresAprès une enfance à Metz, il fait ses études à Paris et trouve un emploi à l'Hôtel de Ville. Il fréquente les salons et cafés littéraires de la capitale et fait la connaissance de nombreux poètes célèbres de son époque. Ces rencontres l'incitent à composer lui aussi des vers. Verlaine est d'un caractère timide, et cette faiblesse est aggravée par des deuils familiaux : il se tourne alors vers la b ChronologieBiographie |
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