Paul Verlaine |
Victor Hugo, soleil dont tous sont le Memnon, Donnant à nous sa lyre étoilée et fleurie. Extase du poète, orgueil de la patrie. Honneur du genre humain qui se lève à son nom ; Picardia Mater, compagne courageuse, Race blonde aux corps blancs brunis " par le grand air ; Ludus pro Patria, beaux éphèbes, sang fier Et chair forte et des yeux où rit la mort songeuse ; Geneviève qui paît ses * ouailles, tandis Que l'oignent de douceur tel saint et tel évêque, Et, le Hun éloigné, rêve de c paradis : Autant, Gloire, de droits et de titres avecque Tant d'autres pour ton temple d ouvert de son vivant A l'artiste impeccable, au maître triomphant. |
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Paul Verlaine (1844 - 1896) |
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Portrait de Paul Verlaine | |||||||||
OuvresAprès une enfance à Metz, il fait ses études à Paris et trouve un emploi à l'Hôtel de Ville. Il fréquente les salons et cafés littéraires de la capitale et fait la connaissance de nombreux poètes célèbres de son époque. Ces rencontres l'incitent à composer lui aussi des vers. Verlaine est d'un caractère timide, et cette faiblesse est aggravée par des deuils familiaux : il se tourne alors vers la b ChronologieBiographie |
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