Tristan Corbière |
Non... Mon cour te sent là, Petite, Qui dors pour me laisser plus vite Passer ma nuit, si longue encor, Sur le pavé comme un rat mort... - Dors. La berceuse litanie Sérénade jamais finie Sur Ta lèvre reste poser Comme une haleine de baiser : - « Nénuphar du ciel! Blanche Etoile! « Tour ivoirine! Nef sans voile! « Vesper, amoris Aurora ! » Ah! je sais les répons mystiques, Pour le cantique des cantiques Qu'on chante... au Diable, Sefiora! |
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Tristan Corbière (1845 - 1875) |
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Portrait de Tristan Corbière | |||||||||
Biographie / Ouvres1845. |
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