Maurice Chappaz |
Naissance: 21 décembre 1916 Lausanne Décès: 15 janvier 2009 Martigny Maurice Chappaz (1916). Depuis les pages qui composent les Grandes Journées de Printemps, ou le Testament du Haut-Rhône, il chante les jours avec les accents de la pastorale antique, où la gravité même se fait musicale. Il traduit Théocrite, loue La Fontaine comme nul avant lui. Et, tandis que « la mort coupe le grand pré », il dit ses paysages du Valais en vers naturels et savants, dont la transparence dévêt l'amour, la douleur et l'éternité de tout ce qui leur est superflu - « quelle ironie que la tristesse ! ». Ce livre, présenté par Christophe Calame, est le premier volume de Maurice Chappaz publié en France. Fils et neveu de notaire, Maurice Chappaz voit son avenir tout tracé une fois sa scolarité terminée. Il s'inscrit donc en premier lieu à la faculté de droit de Lausanne. Mais rapidement, il change de voie pour s'inscrire en lettres à l'université de Genève. Poète avant tout - son premier texte, 'Un homme qui vivait couché sur un banc', paraît en 1939 - Maurice Chappaz est un grand voyageur. [ Lire la biographie de Maurice Chappaz] |
Articles littéraires au sujet de Maurice Chappaz |
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Poètes contemporains Maurice Chappaz (1916 - 2009) |
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Maurice Chappaz (1916 - 2009) |
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Portrait de Maurice Chappaz | |||||||||
BiographieMaurice Chappaz esi né le 21 décembre 1916, dans une vieille famille de notables el d'avocats de Martigny. Son oncle, Maurice Troillei, grand propriétaire de vignobles, sera Conseiller d'Etat du Valais pendant quarante ans et président du Conseil national suisse. C'est lui qui soutiendra Maurice Chappaz lorsque celui-ci, refusant de poursuivre ses études de droit, rompra avec sa famille pour se co Orientation bibliographiqueNé en 1916 à Lausanne, Maurice Chappaz passe son enfance à Martigny et à l'Abbaye du Châble, demeure familiale. Il fait ses études au collège de l'Abbaye de Saint-Maurice où il obtient une maturité latin-grec. Dès 1937, il suit des cours de droit à Lausanne qu'il abandonne en 1940 pour des études de lettres à Genève. La même année, Un homme qui vivait couché sur un banc lui vaut un prix de la revu |
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