Jules Laforgue |
Naissance: 16 août 1860 Montevideo, Uruguay Décès: 20 août 1887 (à 27 ans) Paris, France Jules Laforgue, né à Montevideo le 16 août 1860 et mort dans le 7e arrondissement de Paris le 20 août 1887, est un poète français. Connu pour être un des inventeurs du Vers libre, il mêle en une vision pessimiste du monde mélancolie, humour et familiarité du style parlé. Prénommé Jules en l'honneur de César par un père employé de banque et admirateur du dictateur romain, Laforgue, né à Montevideo en 1860, potache à Paris, est un élève si timide qu'il échoue trois fois au baccalauréat parce qu'il s'effondre à l'oral. Le jour où sa mère meurt en mettant au monde son douzième enfant, il perd la foi. Il mène une vie étriquée dans le milieu artiste en tentant de placer poèmes et dessins dans des revues, tout en fréquentant les bibliothèques pour y étudier sciences et philosophie. Ce rêveur sentimental et délicat obtient, à vingt et un ans, le poste de lecteur auprès de l'impératrice d'Allemagne Augusta. [ Lire la biographie de Jules Laforgue] |
Articles littéraires au sujet de Jules Laforgue |
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Poètes contemporains Jules Laforgue (1860 - 1887) |
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Jules Laforgue (1860 - 1887) |
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Portrait de Jules Laforgue | |||||||||
Biographie Jules Laforgue«Pendant une période de vie très modeste dans sa famille, vie devenue dure avec les soucis d'argent, Jules Laforgue, né à Montevideo, en 1860, sentit s'éveiller son esprit aux chefs-d'ouvres des Musées de Paris et aux longues lectures dans le jardin du Luxembourg; il aima d'abord Taine, Renan, Huysmans, puis alla vers Bourget, dont l'analyse inquiète et naïve l'attirait. Son ambition de la vingtiè Orientation bibliographique / OuvresL'art de Laforgue occupe une place unique dans la poésie française. En effet, on retrouve chez lui une fusion rare entre l'expression de la mélancolie la plus vive et un ton ironique, parfois trivial (comme dans La Chanson du petit hypertrophique) qui, sous d'autres plumes, serait tombé dans le prosaïsme. Parfois aussi, lorsque Laforgue évoque des sujets aussi graves que la question du libre arbit |
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